La journée du 14 mars (3.14), le nombre π est célébré dans le monde entier. Mais c’est aussi l’occasion de lancer la semaine des mathématiques en France ! Elèves, parents et corps enseignant sont invités à réfléchir à des énigmes mathématiques ou à travailler cette matière sous toutes ses formes. En observant la nature qui nous entoure, on peut admirer et étudier des notions d’arithmétique et de géométrie bien concrètes et sous un angle étonnant.
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Spindrift for Schools et le Comité Départemental de Voile du Morbihan concrétisent un partenariat afin de mieux accompagner les scolaires dans leur pratique de la voile. Si le CDV56 leur propose un apprentissage de la navigation, Spindrift for Schools offre aux classes inscrites aux activités nautiques des animations à terre pour mieux comprendre l’environnement marin et la nécessité de le préserver.
La période hivernale, le froid, le gris et la pandémie favorisent la distanciation physique et le repli sur soi. L'épreuve actuelle nous interroge sur notre quotidien, sur l'impact de nos activités sur l'environnement et sur ce qui nous apparait comme vraiment "essentiel".
Mais ce long hiver confiné nous a parfois aussi donné plus de temps pour lire, observer la Nature et les autres, pour développer de nouvelles compétences, nous poussant à innover, notamment dans la manière de transmettre les connaissances et d'accompagner les élèves dans leurs apprentissages.
Dans le cadre de la semaine onusienne dédiée aux 17 Objectifs du Développement Durable, des débats et interventions d’expert·es ont permis d’identifier des solutions concrètes et durables au changement climatique. Dans ce cadre, Dona Bertarelli, sportive de haut niveau, philanthrope, et récemment nommée conseillère spéciale à l’économie bleue à la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, est intervenue le 23 septembre 2020 lors d’une conférence virtuelle pour défendre l’objectif 14.
A la fin des années 1960, un courant artistique contemporain mêlant artistes des quatre coins du monde et nouvelles techniques artistiques voit le jour. Le « land art » est né de cette idée que l’Art et la nature sont indissociables. L’accent est mis sur l’utilisation de matériaux naturels comme le bois, la terre, l’eau ou l’air. L’exploration de nouveaux espaces pour exprimer leur sensibilité pousse les artistes à s’interroger sur la Nature et l’environnement.
Il y a 3,8 milliards d’années naissait LUCA, le premier être unicellulaire, ancêtre commun de tout ce qui est vivant sur Terre. L’eau, une température moyenne supportable et une atmosphère ont permis l’apparition de ces premiers êtres vivants et favorisé l’émergence de la vie. Depuis, la nature n’a eu de cesse de nous surprendre et de réussir à s’adapter aux milieux les plus hostiles, réussissant, par exemple, à créer des écosystèmes dans les abysses où la lumière ne pénètre pas, le long des côtes balayées par les vents et les marées, dans des milieux hyper-sucrés comme les confitures ou des milieux dépourvus de dioxygène (anaérobies). Il y a une quarantaine d’années, des chercheurs ont également découvert de nouveaux écosystèmes au sein de nos déchets plastiques.
Le 16 juillet 2015 au large des côtes bretonnes, le maxi trimaran Spindrift 2 avance dans une légère brise. La lune éclaire la surface de la mer et dans le sillage du multicoque des milliers de paillettes s’agitent. L’eau semble se parer de milles couleurs fluorescentes, telles de soudaines « aurores boréales » ou « des feux d’artifices » aquatiques qui ravissent les quatorze marins du bord. Cette manifestation surprenante mais naturelle n’a pourtant rien d’une prouesse pyrotechnique.
On connait bien Nemo, le poisson clown du dessin animé, mais bien moins l’existence du point Nemo, cette zone du monde la plus éloignée de toute terre émergée dans l’océan Pacifique. Seuls les bateaux du Vendée Globe ou ceux comme Spindrift 2 qui tentent le Trophée Jules Verne, s’approchent de cette zone. Si ce terme Nemo fait référence au nom du capitaine du Nautilus, il signifie surtout « personne » en latin. Et pour cause…
En ces temps de confinement liés au virus Covid-19, les scientifiques nous expliquent pourquoi ces mesures drastiques d’isolement et de « distanciation sociale » sont si importantes pour casser la chaine de propagation de la maladie. Cet effort de restriction de nos activités et liens sociaux nous contrarie alors que dans de nombreuses situations, nous appliquons déjà certaines de ces mesures de bon sens, comme avant de passer un examen important, mais sur des temps plus courts. Dans le domaine de la course au large, les marins sont particulièrement aguerris à ces mesures de confinement notamment quelques jours avant le départ d’un tour du monde à la voile.
A l’aube du XXème siècle, de nombreuses exploratrices, botanistes ou ethnologues ont bravé les contraintes sociales de l’époque pour partir à la découverte du monde et nous livrer leurs précieux témoignages écrits ou photographiques.
Ces pionnières, grandes voyageuses, souvent féministes avant l’heure, ont vraiment eu des destins hors-normes comme en témoignent les portraits d’Anita Conti et d’Ella Maillart dont les récits apportent encore aujourd’hui un éclairage sur notre monde. Ces deux femmes d’exception avaient toutes deux un rapport privilégié à la mer que Spindrift for Schools vous propose de découvrir.